
Tour de France - Huit étapes de montagne au profil de l'édition 2026, dont l'Alpe d'Huez à deux reprises

Le 3e étape, d'Espagne en France, ouvrira le bal. Après le col de Toses (9,3 km à 6,5%), le peloton se dirigera vers une montée finale pour costauds puisque longue de seulement 1,7 kilomètre à 6,5%. Les coureurs du classement général arpenteront des classiques du Tour sur la 6e étape, le col d'Aspin (12 km à 6,5%) et le col du Tourmalet (17,1 km à 7,3%), avec la victoire réglée au sommet d'une ascension de 18,7 km à 3,7%.
Au lendemain du premier jour de repos, le 14e juillet se fêtera sur une deuxième moitié de 10e étape sans répit, comprenant trois ascensions catégorisées en plus de nombreuses côtes anonymes. Le Tour de France atteindra son "sommet" septentrional lors de la 14e étape: il y aura quatre cols pour arriver au Markstein, dont le doux mais long Grand Ballon d'Alsace (21,5 km à 4,8%). Avant la deuxième journée de repos, une arrivée au sommet de l'inédit plateau de Solaison (11,3 km à 9,1%) conclura la 15e étape.
Un surprenant diptyque au sommet de l'Alpe d'Huez attendra les plus courageux en fin de Tour. Auparavant, la 18e étape se réglera à Orcières-Merlette (7,1 km à 6,7%). Partis de Gap lors de la 19e, avec une redoutable arrivée au sommet (13,8 km à 8,1%), les coureurs s'élanceront ensuite du Bourg d'Oisan pour la 20e, l'étape-reine, avec la Croix de Fer (24 km à 5,2%), le Télégraphe (11,9 km à 7,1%), le Galibier (17,7 km à 6,9%) et enfin Sarenne (12,8 km à 7,3%) pour achever leur périple. Il y aura pas moins de 5.600 m de dénivelé positif au programme de cette avant-dernière journée de course, à la veille de la prestigieuse arrivée sur les Champs-Élysées.



